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LANCEMENT TECHNIQUE & RÉUNION CONSULTATIVE SUR LA REVUE DE L’ECOWAP (2015 – 2025)

13:06 11 juin in Actualites
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Principales conclusions et recommandations

Introduction
1. Sur invitation du Département Affaires Economiques et Agriculture de la Commission de la CEDEAO, s’est tenu du 26 au 29 Mai 2025 à Abidjan, République de Côte d’Ivoire, le lancement technique et réunion consultative de revue de l’ECOWAP pour la période 2015 à 2025.
2. Ont participé à la consultation environ 90 personnes, représentant les structures suivantes :
États membres de la CEDEAO
Institutions de l’Union africaine
Organisations régionales
Organisations d’agriculteurs et de producteurs
Acteurs du secteur privé (agro-industrie, chambres de commerce)
Société civile et acteurs non étatiques
Réseaux de jeunes et de femmes
Partenaires techniques et financiers
Institutions de recherche et universités
Professionnels des médias et de la communication
Institutions de la CEDEAO

3. Les principaux objectifs de cette réunion étaient de :
Lancer officiellement le processus de revue de l’ECOWAP (2015-2025) au niveau régional ;
Réfléchir sur les réalisations, les défis et les leçons de la dernière décennie de mise en œuvre de l’ECOWAP ;
Présenter et valider le cadre méthodologique et la feuille de route pour le processus de revue ;
Aligner les objectifs de la revue de l’ECOWAP sur la déclaration de Kampala et le PDDAA 2026-2035 ;
Consulter les parties prenantes sur les visions et les attentes pour ECOWAP@35;
Mobiliser l’engagement et les ressources des différentes parties prenantes pour un examen inclusif et fondé sur des données probantes.

II. Cérémonie d’ouverture de l’atelier
5. Présidée par Monsieur Karamoko, Directeur des Productions végétales, qui a transmis le message de Monsieur le Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières de la République de Côte d’Ivoire, la cérémonie d’ouverture a été marquée par les neuf (09) interventions suivantes :

M. Mamadou SISSOKO, représentant les réseaux régionaux d’Organisations de Producteurs agro-sylvo-pastorales et halieutiques (OPR) a relevé la constante et active participation des organisations de producteurs aux processus d’élaboration de la politique agricole régionale (ECOWAP) et de ses programmes d’investissements (PNIASAN, et PRIASAN). Il fera aussi remarquer leur effective implication à diverses actions portant sur la sécurité alimentaire (PAGR-SANAD, RRSA), l’employabilité des jeunes, le pastoralisme, le développement de la filière riz, l’agroécologie, etc. Il a aussi rappelé leur position de rejet des accords de partenariats économiques (APE), leur présence dans d’importants cadres d’échanges tels le RPCA et le 3 AO. Parmi les autres problématiques abordées, il y a celles relatives à la position prépondérante des exploitations familiales, de l’emploi des jeunes dans le secteur agricole, de la facilitation du commerce intrarégional pour une libre circulation des produits alimentaires, etc. En outre, il a insisté sur l’urgence De s’émanciper de la forte dépendance extérieure pour le financement de la politique et de ses programmes d’investissement. Sur toutes ces préoccupations, il a reconnu que « beaucoup a été fait mais ce n’est pas encore arrivé ».


M. AKADIRI Aminou, représentant de de la Fédération des Chambres de Commerce (FEWACI), au nom du secteur privé a félicité la CEDEAO pour les efforts accomplis dans la région et suggéré que la Commission facilite un dialogue Public-Privé solide axé sur le développement agricole. Il a, en outre, plaidé pour le renforcement, dans ce cadre, des capacités des différentes institutions et des acteurs régionaux impliqués. Les autres points sur lesquels il a tenu à attirer l’attention de la CEDEAO sont le nécessaire développement des infrastructures de transport (chemins de fer, voies navigables) et la facilitation du commerce intrarégional. Il a souligné, par la suite, les nombreuses potentialités que le secteur privé peut faire valoir pour contribuer à l’atteinte des objectifs de la politique agricole régionale. Dans ce cadre, un accent particulier a été mis sur l’accès aux intrants et aux financements. Pour valoriser ces potentialités, il a manifesté toute la disponibilité de la FEWACI à s’impliquer au processus ECOWAP, en parfait partenariat avec la CEDEAO, dans une perspective de développement durable et d’atteinte de la souveraineté alimentaire.

Prof, Mr.le Représentant du secteur de la Recherche agronomique a remercié la Commission de la CEDEAO pour tout l’effort consenti, depuis 2010, dans le cadre de la mise en œuvre de la politique agricole. Il a rappelé que de nombreuses innovations (à l’exemple des variétés de riz créées par AfricaRice) ont été suffisamment développées par la recherche et mises à l’échelle pour impacter tous les maillons des filières telles que celles du riz, du manioc, de l’aviculture, entre autres. Il a aussi exprimé la totale disponibilité des institutions de recherche affiliés aux différents réseaux internationaux (CGIAR, ILRI, autres) pour apporter aux acteurs du secteur agricole régional les connaissances et technologies nécessaires à l’amélioration de leur productivité. A cet effet, les chercheurs se disent prêts à renforcer leur collaboration avec la CEDEAO pour relever le défis du développement agricole.

Dr KENT, représentant les acteurs de NANTS, a remercié la CEDEAO d’avoir permis aux acteurs non étatiques de prendre une part active dans le dispositif de revues conjointes et de redevabilité mutuelle. Cette participation s’est traduite par une stimulation mutuelle entre pays membres, dans une dynamique d’amélioration des performances du système de suivi -évaluation. Revenant sur les défis qui doivent retenir une attention toute particulière, il a mentionné les problématiques de stockage de sécurité, de libre circulation des produits agroalimentaires, de développement des infrastructures ferroviaires et routières. En ce qui concerne plus spécifiquement, les questions d’insertion économique des jeunes et des femmes, ainsi que d’agrobusiness, il a suggéré que l’ARAA soient davantage renforcée pour une exécution performante des projets et programmes.

M. Ibrahim de la Gambie, représentant du réseau des jeunes en Afrique de l’Ouest, a remercié la CEDEAO pour les avoir associés à la revue de la politique agricole. Il a rappelé que l’avenir de l’agriculture oust africaine se trouve dans les mains des jeunes et qu’il est très important que des mesures soient prises pour la sécurisation foncière pour les jeunes, hommes et femmes, et leur accès aux intrants agricoles de qualité et au financement. Il a rappelé que les jeunes meurent dans la méditerranée car ils sont à l’aventure pour la recherche d’un meilleur avenir et de revenus. De jeunes startup innovateurs devront être appuyés. La mécanisation/ modernisation de l’agriculture, la digitalisation et la transformation des produits et leur qualification doivent être prises comme priorités dans le cadre de la revue de la politique agricole. Il a rappelé que le Réseau des jeunes ouest africain fait partie du consortium des jeunes de l’Union Africain et sont prêts à prendre la relève pour conduire la transformation de l’agriculture dans notre région.

Madame X////////, représentante des Femmes et des États membres a souligné l’importance de la réunion pour faire le point de la politique agricole et des résultats obtenus pour poser les bases d’une politique révisée et restructurée en tenant compte de nos priorités régionales. Elle a rappelé le rôle important des femmes dans la transformation agro-alimentaire et les efforts effectués par les Etats membres. Elle a rappelé la nécessité d’améliorer l’environnement des affaires agricoles.

7- Dr Janet EDEME, Chef de la Division Agriculture de la Commission de l’Union Africaine, a indiqué que l’ECOWAP est au centre de la transformation agricole en Afrique de l’Ouest et sert de cadre de mise en œuvre de du CAADP et de la déclaration de Malabo. Elle a souhaité que la révision de l’ECOWAP soit en ligne avec les orientations de Kampala.
8- Monsieur Alain Sy TRAORE, Directeur de l’Agriculture et du Développement Rural (DADR) de la Commission de la CEDEAO, a , après avoir indiqué que le lancement officiel de la revue de l’ECOWAP a eu lieu le 24 mai en marge du SARA, souligné que ECOWAP2035 sera le socle stratégique de la politique agricole pour notre souveraineté alimentaire et la résilience de nos territoires. Elle sera structurée et renouvelée avec de nouvelles Ambitions en lien avec la déclaration de Kampala dont certains résultats attendus sont : accroitre de 45% la production agricole ; réduire de 50% les pertes post-récoltes ; tripler le commerce intra régional des produits agro-alimentaires.
9-L’allocution d’ouverture de Monsieur Karamoko, Directeur des Productions végétales, a, au nom de Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières de la République de Côte d’Ivoire, souhaité la bienvenue aux participants. Il a ensuite souligné que depuis deux décennies l’ECOWAP constitue le socle pour le développement agricole de la région. Aussi, le moment est venu de revisiter la trajectoire commune et redéfinir les priorités. Il a souligné le besoin de produire, de transformer et de nourrir dignement nos populations, de tenir compte des jeunes et des femmes

III. Déroulement
6. Après la cérémonie d’ouverture, les termes de références de l’Atelier (contexte, justification, objectifs, résultats attendus, approche méthodologique, participants, agenda) ont été présentés par Mme Fatimata SOWE , Chargée de Programmes , Suivi-Evaluation et Point focal ECOWAP/CAADP à la Direction de l’Agriculture et du Développement Rural de la CEDEAO. L’agenda a été adopté sans modification.
7. Ensuite les travaux, modérés conjointement par M. Alain Sy TRAORE, Mme Fatmata SEIWOH et Dr Yamar MBODJ, se sont poursuivis en 5 sessions techniques portant successivement sur (i) les réalisations phares de l’ECOWAP au cours de la dernière décennie (2015-2025), (ii) le bilan 2025 du PDDAA et ses nouvelles orientations à l’horizon 2035, (iii) les perspectives de l’ECOWAP à ce même terme 2035, ainsi que (iv) la vision, la stratégie et la feuille de route de la revue dont le lancement est le principale objet de l’atelier.
Session 1 (principales réalisations de l’ECOWAP)

8. Introduite par la présentation introductive de Monsieur Alain Sy TRAORE, Directeur de l’Agriculture et du Développement Rural de la CEDEAO, la première session a permis de capitaliser l’expérience des dix dernières années (2015-2025) de mise en œuvre de l’ECOWAP en relevant les réalisations générées en matière de transformation de l’agriculture ouest-africaine, les leçons apprises et les défis persistants.
9. Il a été retenu que l’ECOWAP, cadre stratégique de développement agricole et de sécurité alimentaire parfaitement aligné au PPDDA, s’est effectivement attelé à la transformation de l’économie agricole régionale tout le long de cette décennie couverte par la déclaration de Malabo.
10. Les réalisations ont été repérées aussi bien au niveau régional qu’à l’échelle des pays. Parmi les importantes réalisations de portée régionale, l’atelier a mis l’accent sur les acquis en termes :
De productivité et de production (amélioration de productivité, le renforcement de la résilience climatique, la réduction de l’insécurité alimentaire, la promotion de systèmes de production durables) ;
De promotion de filières agricoles et agroalimentaires (impulsion d’une dynamique de transformation des marchés agricoles dans une perspective de la compétitivité et d’intégration régionale des marchés) ;
De renforcement de la sécurité et de la résilience alimentaires (amélioration de l’accès à l’alimentation, de la situation nutritionnelle des populations vulnérables) ;
De gouvernance et financement du secteur (réformes renforçant la gouvernance, les mécanismes financiers et l’environnement des affaires).
10. Les initiatives et programmes ayant permis ces réalisations ont, tous, été mentionnés en guise d’illustration.

11. En ce qui concerne le niveau national, l’atelier a pu passer en revue les principales performances des pays en matière d’investissement, de production, de pertes post-récolte sur leurs principales spéculations respectives. En termes globaux, des avancées ont été constatées, mais avec une forte variabilité interpays.
12. Par ailleurs, l’atelier a pris acte des défis majeurs qui persistent dans tous les axes de développement de l’ECOWAP@25 (insuffisance des intrants, services de conseil et ressources financières, déficit de sécurité alimentaire et de résilience, faible capacité de gouvernance et de coordination, etc.) ;
Session 2 (processus de Kampala et orientation de l’ECOWAP@2035)
13. En ce qui concerne l’orientation de l’ECOWAP@35, les échanges ont été introduits par une présentation de M. Alain Sy TRAORE qui a procèdé à la synthèse des revues conjointes qui ont permis de se projeter dans une dynamique :
De renforcement de la productivité et de la résilience des systèmes alimentaires ;
D’initiation d’un processus d’agro-industrialisation et d’intégration des marchés régionaux ;
D’adaptation au climat et utilisation durable des ressources ;
De renforcement des systèmes d’alerte précoce, des mécanismes d’assurance et promotion de l’agriculture intelligente face au climat et de l’agroécologie ;
D’inclusion des femmes et des jeunes dans les chaînes de valeur agroalimentaires ;
De renforcement des capacités de recherche, d’innovation et de planification fondée sur des évidences ;
D’opérationnalisation du Fonds Régional pour l’Agriculture et l’Alimentation (FRAA) ;
De mise en cohérence de l’ECOWAP avec le PDDAA, la ZLECaf et les ODD.
14. En termes de création d’un environnement favorable, les priorités ont été portées sur :
Les incitations à l’investissement ;
La facilitation des échanges commerciaux ;
L’accès à la mécanisation ;
Les transferts de technologies.
15. Pour la prise en compte de ces orientations dans le processus de révision, il a été recommandé de :
Finaliser l’examen des performances de l’ECOWAP (2015-2025) et documenter les principales leçons apprises ;
Effectuer une analyse complète de la situation, y compris une cartographie des forces et faiblesses, de l’économie politique et des systèmes alimentaires ;
Lancer des consultations multipartites, en veillant à ce que les acteurs nationaux, infranationaux, privés et les OSC soient largement représentés ;
Rédiger et valider une ECOWAP 2035 alignée sur les cadres de l’UA et la déclaration de Kampala.
Élaborer une boîte à outils de mise en œuvre régionale, comprenant des cadres de planification, de budgétisation et de suivi et d’évaluation ;
Mettre en place un mécanisme régional de coordination de l’ECOWAP avec des groupes de travail thématiques permanents ;
Mobiliser des financements via :
L’opérationnalisation du FRAA ;
Le renforcement du partenariat avec les donateurs, et ;
Le lancement de mécanismes de financement mixte ;
Institutionnaliser un observatoire de suivi de l’ECOWAP avec des tableaux de bord nationaux et des fiches d’évaluation ;
Promouvoir la gouvernance des données, le partage des connaissances et la mise en place d’un réseau numérique pour l’ECOWAP ;
Prioriser les programmes thématiques (agroécologie, aquaculture, régime foncier, emploi des jeunes, nutrition) sur la base des données et du retour d’information des parties prenantes.

Session 3 : (méthodologie et agenda/feuille de route de la revue)

16. En référence aux orientations ci-dessus de l’ECOWAP@35 et de la stratégie PDDAA impulsée dans le cadre de la dynamique de Kampala, le processus de revue de la politique agricole a pour objectifs de :
Consolider de bilan établi par la Commission de la CEDEAO (Cf. présentation DADR) dans une dynamique participative et inclusive ;
Définir les perspectives de l’ECOWAP sur la base des références susvisées (enseignements tirés de l’expérience ECOWAP@25 et processus de Kampala) ;
Construire un cadre d’orientation politique sur la base des résultats de la mise en bilan et perspective, et ;
Élaborer et adopter au plus haut niveau (Chef d’Etat) un document de politique révisée 2025-2035 (ECOWAP@35) et accompagner les pays et la région à élaborer et adopter des document nationaux de contribution à la mise en œuvre de cette politique révisée.

17. Les résultats qui en sont attendus sont :
Un « document de bilan » consolidé pouvant notamment faire fonctions (i) d’état des lieux des défis à relever par la politique révisée, et (ii) de situation de référence du suivi-évaluation de ladite politique ;
Un « document de prospective » mettant en exergue les scenarii résultant de la mise en perspective ;
Un document de politique révisée (ECOWAP@35) aligné aux nouvelles orientations du PPDDA résultant du processus de Kampala+ documents d’instruments de mise en œuvre ;
Des documents d’instruments nationaux et régionaux de mise en œuvre de la politique révisée.
18. Pour réaliser ces attentes, la démarche adoptée comporte cinq phases portant respectivement sur :
La consolidation du bilan (performances internes, performances externes, effets, impacts, défis à relever, base de référence du suivi-évaluation de la politique révisée) ;
L’approfondissement de l’analyse des perspectives de la politique révisée ;
L’élaboration des instruments de pilotage politique et technique ;
L’élaboration des instruments de mise en œuvre, et ;
La validation de tous les documents (bilan, perspectives, politique révisée, contributions nationales).
19. Les acteurs impliqués sont :
Les pays membres appelés à produire des programmes nationaux d’investissement, avec l’appui technique et financier des institutions régionales et des PTF, sur appel à contributions de la CEDEAO ;
Les organisations régionales d’acteurs non étatiques (agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, transformateurs, distributeurs) dont la contribution est attendue en matière de contribution à la mise en bilan et perspective ;
Le secteur privé (entreprises de production, transformation, distribution produits ASPH) ;
Les organisations de la société civile ;
Les organisations continentales et internationales, et ;
Les PTF.

20. Selon la feuille de route adoptée, le déroulement de cette démarche méthodologique arrive à terme en fin juin 2026. Les activités inscrites à l’agenda sont :
Le lancement et la mise en place du dispositif de révision ;
La réalisation du bilan ;
L’analyse des perspectives et élaboration du projet de document de politique ;
L’élaboration des instruments opérationnels de l’ECOWAP@2035 ;
L’élaboration des instruments d’appui à la mise en œuvre de l’ECOWPA@35, et ;
La validation politique de l’ensemble des documents.

Session 4 (synthèse de la vision)

21. En référence à la présentation du Directeur de l’Agriculture et du Développement Rural de la CEDEAO, il a été retenu que le processus de révision est axé sur les quatre objectifs stratégiques ou piliers suivants :
Augmenter la productivité dans toutes les chaînes de valeur Agricole (ASPH) ;
Promouvoir Agriculture contractuelle – Agrobusiness ;
Améliorer l’accès à l’alimentation ;
Environnement favorable : les règlements régionaux (intrants), FRAA.

22. Dans ce cadre, les objectifs spécifiques poursuivis sont les suivants :

OS 1: « Contribuer à l’augmentation de la productivité et de la production agro-sylvo-pastorale et halieutique grâce à des systèmes de production diversifiés et durables, et à la réduction des pertes post-production »
OS 2: « Promouvoir des filières agricoles et agroalimentaires contractuelles, inclusives et compétitives, orientées vers la demande régionale et internationale, en vue de l’intégration des marchés régionaux
OS 3: « Améliorer l’accès à l’alimentation, à la nutrition et renforcer la résilience des populations vulnérables »
OS 4 : « Améliorer l’environnement des affaires, la gouvernance et les mécanismes de financement du secteur agricole et agroalimentaire »

IV. Résultats, conclusions, recommandations et perspectives
23. Au terme des travaux, il peut être retenu que tous les résultats attendus ont été effectivement réalisés. En effet, une démarche méthodologique de révision de l’ECOWAP@25 doublée d’une feuille de route ou agenda de mise en œuvre a été adopté et figure en annexe 2 du présent relevé des conclusions et recommandations.
24. En termes de conclusions, il est retenu que l’atelier a effectivement lancé ce processus qui devra se déployer dès ce mois de mai 2025, conformément à la feuille de route adoptée.
25. Les perspectives immédiates sont ainsi : (i) l’élaboration et la mise à disposition des « documents de cadrage de la contribution des parties prenantes, et (ii) la mise en place du dispositif de mise en œuvre du processus de révision.



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